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Ne ratez pas un investissement qui rapporte gros...

Dans la vie on obtient que ce que l’on se donne les moyens d’atteindre.
Alors voici de quoi vous convaincre ou vous aider à persuader, si vous pensez qu’investir sur l’humain est trop cher ou intéressant mais que vous n’en n’avez pas de temps à y consacrer.

Le coût :
- Le coût pour l’entreprise de nos prestations est très largement inférieur à l’argent qu’elle perd à travers l’absentéisme, la moindre productivité de ses collaborateurs, le manque d’envie et d’imagination et la difficulté à fidéliser ses collaborateurs qui impactent directement son dynamisme et sa compétitivité.

- Le coût de la maladie : personne n’est trop petit pour s’attaquer au problème de la Sécurité Sociale ! Si chacun apprenait à évoluer dans un environnement qu’il gère et non qu’il subit, l’absentéisme  et son impact organisationnel sur l’entreprise comme son coût direct en perte de production diminueraient. Sans parler que diminution de la maladie signifie à terme diminution des charges pour les entreprises comme pour les salariés ?

- Se soigner sans médicament, n’est pas toujours possible mais pourtant si souvent le cas. Au-delà des économies que vous ferez pour vous-mêmes, quel gain et quelle fierté de se sentir plus puissant face à la maladie, de ne plus perdre son temps chez un médecin, de
se comprendre au point de décider le comportement de son corps comme de son esprit.

- Les coûts non chiffrables : à combien s’élève le préjudice pour votre entreprise comme pour vous, si sur internet on découvre une « affaire » de maltraitance psychologique, si
dans les conversations de vos clients, de vos salariés, des personnes issues de votre environnement géographique on apprend le mal-être qui règne en votre sein, … ? 
Combien de temps faudra t-il, si jamais vous vous en remettez, pour effacer ce passif ?

- Le coût d’un « divorce » est financièrement infiniment plus cher que le coût d’un accompagnement pour retrouver confiance et envie en l’autre. Mais au-delà des milliers d’euros dépensés en procédures, d’une perte de son patrimoine et son niveau de vie, le coût psychologique et la fatigue engendrés sont bien plus considérables encore. Il est bien plus valorisant de sortir d’une crise en la reconnaissant sans pour autant l’accepter que de la subir sans se battre car cet échec restera à jamais une plaie ouverte en vous.

Le temps… que l’on se donne :
- Celui qui est toujours débordé n’a pas plus de contraintes que les autres : il ne sait pas gérer son temps ! Un Président de la République voyage à travers le monde, prend des directives d’une importance capitale pour son pays, à de multiples réunions chaque jour, gère son gouvernement, ses relations médiatiques et sa vie de famille quotidiennement et pourtant il ne dispose que de 24h par jour comme tout le monde. Il n’est pas exceptionnel,
il s’organise !

- Le temps que l’on maîtrise permet de faire plus choses en s’économisant. Le meilleur sprinteur au monde n’est pas celui qui a la plus grande vitesse de pointe. C’est celui qui maîtrise sa course pour étudier ses adversaires et son environnement, celui qui sait s’économiser tout en restant parmi les leaders, celui qui ne gaspille pas ses forces pour paraître ou impressionner, celui qui connaît son potentiel au point de l’exploiter à 100%
le moment venu et bien entendu celui qui sait placer une seule et unique attaque décisive, incontestable et victorieuse.

Bientôt vous ne gaspillerez plus votre temps et votre énergie, tout en devenant encore plus compétitif.